Halldór Laxness : prix Nobel de littérature (1955)

Depuis que je me suis épris de l’Islande, j’ai lu La cloche d’Islande de Laxness et ma découverte se poursuit avec Gens indépendants du même auteur.

La cloche d’Islande constitue une excellente leçon d’histoire de l’Islande et le style est passablement différent de la littérature à laquelle je suis habitué, que ce soit la littérature française, québécoise, allemande ou russe. Une des raisons est – pour ce que j’en connais -, que la littérature islandaise vit sous le spectre des anciennes sagas et dans des conditions matérielles qui n’ont jamais été des plus avenantes.

Tout comme dans les sagas et dans les contes islandais, le dialogue est direct et comique. Avec Gens indépendants, les dialogues n’ont rien à envier à La cloche d’Islande, le rythme du roman semble plus soigné et je dirais que l’intrigue est moins complexe dans son ensemble. Jusqu’à maintenant, il n’a pas été facile de lire un chapitre sans directement enchaîner avec le suivant.

À suivre…

Publicité

Les couleurs de la lune

La lune nous apparaît tantôt grise, tantôt rouge, orange ou jaune.

Les couleurs de la lune, c’est un peu comme demander pourquoi le ciel est bleu et les couchers de soleil rouge, orange, jaune ou rose!

La responsable, c’est l’atmosphère terrestre.

En principe, la lumière blanche qui parvient jusqu’à nous à partir du soleil est composée de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Par contre, les quelques kilomètres de particules et d’air variable (chaud, froid, humide, sec, pollué, etc.) qui forment l’essentiel de la couche la plus basse de l’atmosphère ne diffusent pas de la même façon toutes les couleurs de la lumière.

En plein jour, l’atmosphère diffuse le bleu dans toutes les directions, mais elle interfère moins sur les autres couleurs, d’où la couleur bleu du ciel.

Mais d’où viennent alors les couleurs rouge, orange, jaune et rose des couchers de soleil?

Plus on se rapproche de l’horizon, plus la couche d’atmosphère à travers laquelle on regarde le soleil est grande, donc les effets peuvent être plus spectaculaire près de l’horizon. Tandis qu’au zénith (en plein centre dans le ciel), la couche atmosphérique par rapport à nous est à son plus mince, ce qui a un effet moins déformant.

Et pouquoi la couche atmosphérique est-elle plus grande à l’horizon qu’au zénith?

Pour se le représenter, imaginons que nous sommes couchés en plein centre au fond d’une très grande piscine, dont le niveau d’eau est le même partout. Si on regarde directement en haut, on regarde à travers moins d’eau que si on regarde en diagonale en direction des rebords de la piscine. Les images qui proviennent des extrémités sont plus embrouillées que celles qui sont au dessus de nous. C’est le même principe à travers l’atmosphère.

Finalement, la lune aurait probablement toujours la même couleur si ce n’était des humeurs de l’atmosphère, qui génère continuellement un peu de variété, pour notre plus grand divertissement – et questionnement…

Favoris et partage

« Who says I have a mother? »

As far back as I can remember, I’ve always loved gangster talk. Especially the Italian-American way.

As I wanted to share a couple of my favorite scenes on the subject, the first thing I could think of came from the Simpsons:

Fat Tony: How is your mother?
Johnny: Oh, hey, who says I have a mother?

Here are a few humoristic scenes that I particularly enjoyed.

The Goodfellas

Next to the Simpsons (!), you don’t know anything about gangsters until you watched The Goodfellas. And without going any further, here is the how-am-I-funny-scene from the movie:

Coffee and cigarettes – Those Things’ll Kill Ya

Another funny scene played by Italian Americans – I guess – is from Coffee and cigarettes. By the way, I am not here to start over a debate on Italian Americans stereotyping. I just love the way they talk!

Mean Streets – What’s a mook?

Yep, what’s a mook? I like this definition that I found in the Urban Dictionary: « Mooks are archetypal young males (teens-early 20s) who act like moronic boneheads. They are self centered simpletons who live a drunken frat-boy lifestyle (or are frat-boys). »

Reservoir Dogs

How about Tarantino’s movies and Steve Buscemi?…

Anybody can think of another great scene?